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Comme chaque année depuis sa création en 2018, le Salon artistique de Parmain vous propose de découvrir des œuvres autour d’un thème et des univers multiples de peintres, photographes et sculpteurs locaux et régionaux qui contribuent à notre richesse culturelle et patrimoniale.

Sur ce nouveau sujet « Regards d’artistes du 21e siècle sur les maîtres du passé », 9 vous proposent de les suivre sur le chemin de leurs inspirations.

De tout temps, et ce, jusqu’à la révolution que fût l’invention de la photographie, les peintres mettaient leurs pas dans les pas de ceux qui les avaient précédés, soit par leur apprentissage dans les ateliers des maîtres italiens et flamands, soit par ce qu’on appelait « le grand tour », au cours duquel ils visitaient églises et monastères européens et les musées, dont l’invention remonte au 17e siècle après la floraison des cabinets de curiosité qui ont marqué l’émergence de la muséographie.

Ce fil continu connaît quelques ruptures à partir du 19e siècle, mais au 21e, il y a toujours des peintres qui regardent et admirent les anciens, des étudiants qui vont dans les musées pour copier, dessiner, s’imprégner de tous ces génies dont les œuvres perdurent. La création dans la tradition et la continuité a encore de l’avenir.

Découvrez les artistes de ce Salon 2025 dans les documents à droite de cette page

Ces « Regards d’artistes du 21e siècle sur les maîtres du passé » ne pouvait laisser l’art musical et ses filiations de côté. Sans l’art de la fugue et du contrepoint de Jean-Sébastien Bach, quid de Mozart et de Beethoven ? En 1782 Mozart découvre l’œuvre de Bach. Il assimila cet immense héritage et son écriture en fut changée. Beethoven quant à lui, connaissait bien l’œuvre pour clavier de Bach et en jouait une grande partie par cœur. Les Variations Goldberg lui inspirèrent ses trente-trois Variations Diabelli pour piano. Vers la fin de sa vie, il étudia la Grande Messe en si mineur et s’inspira ensuite de l’art du contrepoint de Bach pour composer sa Missa Solemnis.

Peinture, musique… de générations en générations le savoir-faire s’est transmis et perdure.

Dimanche 23 novembre à 16h moment musical

avec Iris Scialom, gagnante du Prix des Violin Masters de Monte-Carlo – Prince Rainier III, nommée dans la catégorie Révélation Soliste Instrumental aux Victoires de la musique classique 2025.

Iris est fille de musiciens et a commencé le violon dès l’âge de quatre ans. Après avoir obtenu son Diplôme Supérieur d’Études Musicales avec la mention TB à l’unanimité au CRR de Saint-Maur-des-Fossés, elle est reçue au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris à l’âge de 13 ans dans la classe de Stéphanie-Marie Degand, Catherine Montier et Thibault Vieux. Elle forme également avec le pianiste Antonin Bonnet un duo avec qui elle a obtenu un Master de musique de chambre au CNSMDP Mention TB à l’unanimité avec les félicitations du jury.

Représentée par Pro Quartet Centre Européen de Musique de Chambre

Le nombre de places étant limité à 50, nous vous conseillons de réserver auprès de Sylviane Saumier : ssaumier@ville-parmain.fr